AMP Fest @ Foufounes Électriques, Montréal – 12 octobre 2025
Voici les photos prises par Cherry Pixs lors du AMP Fest présenté par AMP Industrial Events aux Foufounes Électriques de Montréal le 12 octobre 2025.
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Voici les photos prises par Cherry Pixs lors du AMP Fest présenté par AMP Industrial Events aux Foufounes Électriques de Montréal le 12 octobre 2025.
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Voici le retour de Luc Belmont lors du spectacle de Bleeding Remains présenté à la Taverne La Barricade de Lévis le 18 octobre 2025 et qui mettait également à l’affiche Acetone et Rite Of Decay.
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La soirée d’une nuit à La Taverne Barricade. Au calendrier, alors qu’une musique de défenestration s’est jouée l’allure devant une foule monstre des ténèbres. Comment commencer mieux l’orgie sonore qu’avec un groupe ayant torturé des cauchemars.

Numéro un dans le top trois des bands qui a allumé ses amplis le plus avant les autres au spectacle, ROD est un groupe de musique métal qui torche le plancher des vaches en salle, dressant les boeufs. Pour ceux qui connaissent pas le groupe Rite of Decay ressemble un mini peu au Rive Sudiste Brutal Slam incorrigible que tu as déjà entendu par le vestige obscure de la contrée pastorale. Il y a des affaires mélodiques qui ne plaisent pas à l’oreille des curés de paroisse, mais qui passent au conseil dans le tri sélectif des esprits malsains de ROD. Une leçon de vie qui parle de mort, avec des conseils pour être bon à la guitare en messages subliminaux, constitue l’essence même de l’égrenage des secondes que le contenu préparé par Rite of Decay nous enlève de souffrir. La vitesse est l’un des excès les mieux promus par la propagande riffique de ce trio d’influenceurs au goût musical verni comme un vieux vinyl old school. La preuve que la brutalité n’est pas gage de méchanceté s’expose dans le livré orageux des lévisois lévisiens qui se mouvoyaient de joie dans l’extase audio procuré par ROD. Une seule et unique chose est sûre après ce défrichage des voies à l’usine, et c’est le tournant progressif des compositions rocambolesques, où les désirs obsèdent chaque témoin du maléfice, où le mystique et occulte secret voilé est mortuaire. Moi je vote pas, mais à vous d’aller écouter Instrumentalities of Flesh en essayant de ne pas vous sentir comme un·e « esti » de con·ne qui a jamais rien fait de bon dans vie. Je sais pas si ROD ils ont fait exprès pour que le monde pense qu’ils avaient fini de jouer, mais un rappel hâtif pour une première partie a achevé la minute passée.

Descendu par le bois du Parc des Laurentides pour nous montrer leur EP Left To Rot, ce band a fait de la soirée un rituel de culte bizarre. Comme si on avait besoin de trouver que Acetone est un bijou incontournable qu’on veut revoir bientôt. J’ai eu plein de eye contact pendant leur set parce que le monde se demandait quand même c’est quoi qui se passait de autant intense. Des fois on était rendu dans un espace virtuel très confortable créé par les détails musicaux acheminés. J’adorais surtout les passages allongés où on dirait que le groupe essaye de communiquer un état impénétrable de son existence lugubre. J’ai écouté chaque note avec un intérêt dubitatif comme s’il manquait la suivante. Un mot revient souvent en voyant cet excellent groupe : OK, genre « oké, y sont sérieux ». Okay j’ai la chance d’être dans la même pièce que les amplis de ces gars-là. Pour vrai, il n’est pas gênant d’admettre que je suis fan. Une tonne de brique en styromousse me ferait moins jouir. Il y avait des fantômes qui erraient dans le décor sombre des cryptes ondulés à travers lesquels Acetone nous faisait voyager dans l’univers des champignons psychopathés raide. J’ai entendu la guitare vouloir arrêter de pleurer deux secondes, mais le duo basse et batterie a tellement géré le pépin technique que ce fut l’un des forts moments d’union compatriotique. J’ai acheté toute leur marchandise. Toute. Leur. Stock. Varge.

L’auteur du spectacle a été à la hauteur des choses expectées, car Bleeding Remains fût l’hôte de chair et d’os. « Je te donne et tu reçois », voilà le slogan qui ressort de cette prestation étagée que BR a brûlée dans le temps de le dire. J’ai vu des choses que je ne comprenais pas se passer devant ma vue d’oeil. J’ai entendu des sons que je ne voulais pas subir dans mes oreilles sourdes. Le délire était ultime, comme une brèche dans l’outre-tombe sanguinaire. Je n’ai pas la permission de dévoiler quelconque machinerie enseignée par ces experts de la violence auditive douloureuse. Quel manque de gentillesse de la part des rythmes impitoyables et de la musique folle de rage dans BR. J’étais après sauter sur le dos des autres autour de moi en tournoyant. Le vidéoclip saura vous dire. Le jeu du carré a gâché mon spectacle parce qu’il siégeait toute mon attention de maniaque troublé. En plus, les gens je voulais les rencontrer avec beaucoup d’insistance, mais ils ne me fournissaient à retordre aucun fil en aiguille. Qui n’était pas smath au show ? Le bassiste qui joue aussi dans Wodos avec Justin Caron a perdu sa strappe environ deux fois, mais le gars à côté de moi, voisin de table auprès du Roi Arthur et du Saint-Graäl, lui a tout remis ça sur l’épaulette de chef. Le beurre et l’argent du beurre, en pièces d’or. J’ai entendu des cris que je ne pourrai jamais crier fort de même. On a pas eu fini de péter une coche avant que l’hommage à Deche-Charge vienne. Une partie de poker n’aurait pas mieux tourné sur le 21 que le set de Bleeding Remains, qui a offert aux amateurs de bardas une recette à se lécher le doigt d’honneur.
Au final on s’entendra pour dire que la Taverne Barricade est une bonne place pour inviter des groupes de fignolage. Dans l’ordre, il y eut Rite of Decay, Acetone et Bleeding Remains.
-Journaliste: Luc Belmont
Crédit photo: Nathan Bouchard
Voici le compte rendu et les photos prises par Aryanne Marineau lors du spectacle de MXPX présenté par 77 Montréal, Evenko et Extensive Enterprise au MTelus de Montréal le 25 octobre 2025 et qui mettait également à l’affiche The Ataris.
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C’est en ce 25 octobre que je me rends au Mtelus de Montréal pour assister au retour tant attendu de MXPX, accompagné en première partie par The Ataris — deux groupes phares du pop punk. Dès mon arrivée, une foule enthousiaste attend déjà à l’entrée. La salle est comble, et l’excitation est palpable. Le public trépigne d’impatience à l’idée de voir le premier groupe fouler la scène.
Les lumières s’éteignent et The Ataris font leur entrée sur scène à 20 h avec In This Diary. La foule s’exclame, heureuse de voir enfin le spectacle commencer. Dès les premières notes, la guitare est tranchante, la batterie précise, et la basse résonne dans toute la salle — je pouvais littéralement sentir les vibrations dans ma cage thoracique.
La voix du chanteur, puissante et juste, porte jusqu’au fond de la salle. Le groupe enchaîne avec Unopened Letter to the World, puis The Hero Dies in This One. Bien que les musiciens bougent peu sur scène, le public compense largement : tout le monde danse, saute, et hoche la tête au rythme des chansons.
Moment fort : pendant The Boys of Summer, la foule se met spontanément à chanter le refrain en chœur, pendant que le chanteur laisse la place à ses fans. C’était magique d’entendre toute la salle reprendre les paroles d’une seule voix, pendant que le body surfing battait son plein — même quelques jeunes enfants étaient tout à l’avant, fiers d’assister à ce moment.
Le groupe termine sa prestation avec So Long, Astoria, concluant un set à la hauteur des attentes malgré une présence scénique un peu statique. Leur énergie musicale, elle, ne faisait aucun doute.
Petite anecdote amusante : durant l’entracte, la salle a diffusé un match des Blue Jays en direct. Chaque point marqué déclenchait des cris de joie ! L’ambiance était déjà électrisante, même hors contexte du concert — une belle preuve de la bonne humeur générale.
La foule en redemande. Les cris et applaudissements se multiplient alors que MXPX se prépare à monter sur scène. À 21 h, le groupe fait une entrée explosive avec Not Today. Dès les premières notes de This Is What You Told Me, la salle est en délire : ça saute, ça danse, et le body surfing reprend de plus belle.
Les classiques s’enchaînent — Secret Weapon fait chanter tout le public, qui reprend chaque refrain à l’unisson. Les back vocals sont solides, la batterie impeccable, et l’énergie du chanteur, qui bondit d’un bout à l’autre de la scène, est contagieuse.
Sur Doing Time, toute la salle tape des mains pour encourager les musiciens, qui donnent clairement leur 110 %. Le solo de guitare en fin de morceau vient parfaire une performance déjà explosive.
En plein milieu du spectacle, moment cocasse : le chanteur trouve un soulier sur scène et s’amuse à retrouver son propriétaire avant de le relancer dans la foule. Cette touche d’humour, suivie d’une présentation sympathique des membres du groupe, crée un lien chaleureux avec les fans.
Le groupe conclut la soirée avec un rappel de trois chansons : My Life Story, Responsibility, et bien sûr, leur incontournable Punk Rock Show. Une fin grandiose pour un concert où la nostalgie, l’énergie et la passion punk se sont parfaitement entremêlées.
Verdict
Une soirée hautement réussie, marquée par une foule survoltée, des classiques revisités et une ambiance purement punk rock. The Ataris ont livré une performance sincère et efficace, tandis que MXPX ont prouvé qu’ils n’avaient rien perdu de leur fougue légendaire. Un concert qui a fait vibrer Montréal et les cœurs de tous les fans présents.
-Photographe/Journaliste: Aryanne Marineau
Voici le compte rendu de Phil Grondin et les photos prises par Jimmy St-Pierre Gariépy lors de la tournée Carnival Of Death présenté à la Salle Montaigne de Québec par District 7 Production le 23 octobre 2025 et qui mettait à l’affiche les formations Kataklysm, Vader, Malevolent Creation et Skeletal Remains.
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La tournée Carnival of Death Tour 2025 s’arrêta à la Salle Montaigne de Québec afin de présenter les formations Skeletal Remains, Malevolent Creation, Vader et Kataklysm en ce beau jeudi automnal. Une tournée à saveur death metal comme on les aime entre les murs du Cegep Limoilou ! Présenté par District 7 Production, le spectacle affiche presque complet alors qu’il restait encore quelques billets de disponibles à la porte. Encore une excellente nouvelle pour les spectacles dans la Ville de Québec ! La musique de « pas fin », comme monsieur/madame tout le monde aime bien dire, se porte très bien !
Skeletal Remains ouvre les festivités à 19h pile. Directement de la Californie, le groupe est du pur old school death metal comme on pourrait demander. Seul membre original sur scène, le chanteur Chris Monroy est entouré de musiciens sessions pour la tournée et une chose assurée, ça rentre au poste ! C’est du bon vieux death metal gras qui nous rentre dans les tripes. Les musiciens sur scène, malgré qu’ils soient majoritairement statitques, réussissent bien leur mission de nous prouver qu’ils sont là pour faire partie de la cour des grands. Skeletal Remains a navigué dans ses 5 albums pendant plus de 30 minutes avant de terminer avec la pièce « Unmerciful », tirée de leur dernier album « Fragments of the Ageless », sorti en 2024. Un groupe que je recommande sans hésitation si vous ne connaissez pas et aussi de les voir en spectacle quand ils vont repasser !
Malevolent Creation sont les prochains à venir nous faire jouer, encore une fois, une bonne dose d’old school death metal. Pour être old school, ils le sont en masse puisque le groupe existe depuis 1987. Malheureusement, le seul membre original, Phil Fasciana à la guitare, a dû quitter la tournée plus tôt suite à des problèmes de santé. Performant en tant que trio, Malevolent Creation a très bien assuré malgré l’absence d’un membre. Au lieu d’annuler leur présence, ils ont préféré continuer la tournée et ça, c’est ce que j’appelle faire honneur au nom de ce groupe. Issu de la scène death metal de la Floride, nous reconnaissons les influences de ce mouvement tout au long de leur prestation. La foule, quant à elle, s’est réveillée et les moshpits ont commencé pour de bon. À Skeletal Remains, il y en avait un peu par-ci par-là mais là, c’est une toute autre histoire ! Si vous ne connaissez pas Malevolent Creation, je vous suggère leur album « The Ten Commandments » qui est considéré comme un classique.
Après quelques problèmes de Visa les forçant d’annuler les 3 premières dates de la tournée, Vader est bien présent en chair et en os. Ayant eu la chance de voir Vader l’an passé à Montréal avec Origin et Inhuman Condition au Studio TD, alors que le groupe se produisait à la Source de la Martinière à Québec, le fait de les voir dans une salle plus grande est sans hésitation de quoi qui a été grandement apprécié par plusieurs personnes dans la foule. Vader a encore une fois prouvé qu’ils sont de vrais vétérans avec leur death metal à tendance thrash.
Le chanteur, Piotr Wiwczarek, ne semble en aucun cas vouloir ralentir la cadence. Même s’il est âgé de 60 ans, on dirait qu’il semble autant prendre plaisir à donner des spectacles que lorsqu’il était dans sa vingtaine. Sa voix n’a aucunement ralenti. Tout y est. C’est du Vader pur et simple, de la destruction à l’état pur. Si vous n’avez jamais vu Vader en spectacle, n’attendez pas une seconde et allez-y. De même, le groupe a terminé la soirée avec une reprise de Slayer – Raining Blood. Le parterre a tout simplement explosé. Après plus de 17 chansons, Vader a encore une fois prouvé être une force incontestée du genre.
Les Québécois de Kataklysm sont venus rendre visite à la Vieille Capitale alors qu’ils ont eu la chance d’enfin goûter à de la vraie poutine ! À la blague, Maurizio le chanteur de Kataklysm, n’a pas hésité de nous faire savoir sa joie d’être enfin de retour en sol québécois afin de manger une vraie poutine contrairement à celle de l’Ontario. Woah, j’ose même pas savoir ça goute quoi une fausse poutine de Toronto !
Trève de plaisanterie ! Ayant la chance de voir Kataklysm pour la premièe fois (enfin!), je peux vous dire que ces gars la ont énormément de talents. Ne connaissant pratiquement pas les pièces présentés, je peux vous dire que j’ai été agréablement surpris ! Le groupe se voit dynamique avec la foule entre chaque pièce et n’hésite pas de nous partager chaque interaction en français.
De même, Vader était originalement prévu de clore la soirée mais Kataklysm a la tâche de terminer les soirées au Canada alors qu’il a été convenu que les deux groupes allaient changer de place sur le line up. Un beau geste afin de permettre aux petits gars d’ici de terminer le spectacle. C’est avec la pièce « The Black Sheep » que Kataklysm termine cette soirée et nous rappelle que même si nous sommes des metalleux, nous sommes souvent vus comme les moutons noirs de la société, mais c’est ce qui forge notre identité.
Merci à District 7 Production pour ce merveilleux spectacle et encore une fois, je lève mon chapeau à la Salle Montaigne. Tous les groupes avaient une excellente sonorité, la salle est bien configurée et c’est vraiment le type de salle qui manquait à Québec.
Setlist Kataklysm :
-Journaliste: Phil Grondin
Photographe: Jimmy St-Pierre Gariépy
Voici le retour de notre journaliste Christian Lamothe sur le spectacle de Northwalk et Deadwood présenté à la Microbrasserie Hop Station de Coaticook le 11 octobre 2025.
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En ce soir du 11 octobre, une des dernières soirées agréables de cet automne, nous voilà à Coaticook. C’est à la Microbrasserie Hop Station que l’on se donne rendez-vous pour accueillir les groupes Deadwood et Northwalk, deux formations que je connais bien et qui ont de la nouveauté à me présenter. D’une part, on a ce groupe de Deathcore (Deadwood) qui auront une surprise pour moi en me présentant leur ‘’nouveau’’ frontman et Northwalk, mon groupe fétiche de hardcore trifluvien, qui auront à me dévoiler plusieurs nouvelles pièces. Moi qui redoutais une page blanche ou un simple remake, je suis confronté à une démonstration captivante de ces deux formations qui méritent une attention particulière dans l’univers de l’underground musical québécois.
Ooooo que j’étais en retard dans mes nouvelles… Le retour de Derek Heynekamp dans l’arène, frontman déjà connu par les plus anciens fans de la formation, le revoilà tout feu tout flamme, et cela depuis le début de la tournée québécoise. On est au dixième spectacle sur onze. Vous allez dire que j’allume pas très vite… vaut mieux tard que jamais. On remarque ce retour tout d’abord par une grande fluidité de celui-ci et la communion qu’il a avec les personnes présentes. Un fort apport au groupe sur ce que j’appellerais, une voix plus organique, avec une nouvelle palette de scream qui nous donne une différente version d’un Deadwood toujours en progression. Je redécouvre cette furie dynamique et j’applaudis ce renouveau. La symbiose est présente dans le groupe et nous voilà devant un nouvel avenir, une nouvelle voie que prend ces Montréalais qui ont brassé le Québec de tous bords, tous côtés, deathcore style!
Un nouveau titre est joué: Tales of Massacre, qui entre dans l’esprit qui va sortir très bientôt, mais je laisse Fred Element nous entretenir, un peu plus bas dans la vidéo qui début par une entrevue dans un noir thématique. Si vous pensiez avoir tout entendu, ou avoir fait le tour du ‘’hype’, qui entoure cette formation…vous êtes loin du compte. Nous voilà face à une métamorphose qui va porter fruit et nous, comme amateurs de ce genre, nous serons encore plus curieux pour la suite… allons voir ce que Fred a à dire à ce sujet. (mettre la chanson:
Toujours fiers de voir notre band fétiche hardcore de Trois-Rivières se livrer un peu partout, peu importe la situation, ils se donnent et les gens se rappellent de leur son. Voilà ce que l’on attend d’une formation qui aspire à plus. Plusieurs nouvelles chansons détonnent ce soir et encore une fois: c’est une grenade musicale! Betrayed ,Turmoil Within, Burnt et Counting Days… Voilà de nouveaux titres que j’ai pu entendre et surtout apprécier. Vous me direz:’’ on le sait bien, toi tu es de Trois-Rivières et bla bla blaaaa…’’. Tout à fait raison,
je suis très fier d’avoir un groupe comme Northwalk, qui nous représente ici et maintenant ailleurs dans le monde. Plus de dix ans d’existence, avec encore un désir palpable d’animer les foules et, comme on dirait: ça déménage comme jamais! Voici d’ailleurs une vidéo (medley) de leur performance!
Dix ans de fureur sur scène et qui m’amène à vous parler des derniers développements: Un nouveau single!!! Un nouvel Album!!! Tournée européenne!!! Dans cette chronique, oui, je délaisse un peu la soirée pour vous informer de tout ce qui se passe dans un avenir très rapproché, mais que de belles nouvelles en cette soirée à Coaticook. Premièrement, le 17 Octobre, la sortie de Betrayed, qui a été enregistrée et maîtrisée par Max Lacroix (Blind Witness, Get The Shot) et, par la suite, l’album A World Undone qui paraîtra le 1er novembre 2025 via Death Farm Records. La cerise sur le Sunday: une tournée européenne prévue en Mars, rien de moins! Mais avant, n’oubliez pas ces dates: Victoriaville, le 24 octobre et Sherbrooke le 8 novembre et à Québec le 28 novembre: Pour célébrer les 10 ans de Feels Like Home.
Tellement de plaisir à voir ces deux formations se déchaîner sur la scène. Tellement fier de leur investissement dans leur musique et j’en profite pour leur souhaiter d’avoir, de part et d’autre, une autre superbe tournée hors Canada… Bravo à Deadwood et Northwalk pour leur détermination et bien sûr leur musique qui fait la fierté de l’Underground québécois.
-Christian Lamothe, Chroniqueur de l’Underground
Deadwood: https://deadwood666.bandcamp.com/music
Northwalk: https://northwalk.bandcamp.com/music

Voici les photos prises par Martin Desbois lors du spectacle de Blackbraid présenté par Extensive Enterprise au Café Campus de Montréal le 1er octobre 2025 et qui mettait également à l’affiche Dödsrit et Gudsforladt.
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-Photographe: Martin Desbois